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Paul McCarthy, l’Amérique vue par son trou du cul
Violence gestuelle, iconographie trash, débordements colorés, «industry» hollywoodienne, défonce au ketchup et stars du porno se partagent pêle-mêle l’identité des travaux de Paul McCarthy. Depuis quarante ans, l’artiste américain de Los Angeles passe à tabac Pollock et Disney, tétanise le mythique enfer climatisé de la côte ouest et aiguise les extrémités les plus tranchantes de quelques souvenirs d’enfant pleinement réinvestis. Naviguer dans son œuvre c’est avant tout vivre l’avilissement des (in)certitudes les plus récurrentes sur lesquelles reposent nos rapports à la culture et à la mémoire.

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