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Amy O''Neill, notre agent au Bunker
Si nous admettons avec un historien fameux que l’art moderniste a été romantique par dénégation, en tentant de regagner une expérience authentique de l’expérience au deuxième degré qui était proposée par les tableaux de Friedrich (i.e. en troquant une expérience par procuration, celle de la représentation du sublime dans la nature, contre une expérience directe, en art et en tant que tel, du sublime), l’art d’Amy O’Neill propose quant à lui une expérience directe et paradoxale d’un monde semblant avoir basculé tout entier dans l’expérience par procuration.

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