Der Anfang liegt im Dunkeln, gefühlt unterirdisch. Projektionen archaischer Zeichen leuchten in ruhigem Bildwechsel auf. Zuoberst im Kunsthaus Bregenz reckt sich ein Riesengebilde aus Hühnerfedern dem Licht entgegen. Es geht bei Solange Pessoa um kosmologische Zyklen, um Kult statt Konsum.
Solange Pessoa, ‹Miracéus›, 2004–2023 (Ausschnitt, vorne); ‹Ohne Titel›, aus der Serie ‹Animal›, 2004–2008, Courtesy Mendes Wood DM, Ausstellungsansicht Kunsthaus Bregenz. Foto: Markus Tretter
Vous pouvez lire le texte intégral dans le numéro imprimé actuel du Kunstbulletin ou en vous inscrivant comme abonné.
Buy individual items
Vous souhaitez simplement lire cet article ? Vous pouvez l'acheter séparément ici.
CHF2.—
Une fois l'article acheté, il s'affichera au format PDF dans la fenêtre du navigateur. Vous pouvez également faire envoyer l'article au format PDF à l'adresse électronique indiquée ci-dessous.
Acheter